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Unabhängige Musik seit 1986.
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280: SILKE EBERHARD TRIO. The Being Inn

Intakt Recording #280/ 2017

Silke Eberhard: Alto Saxophone, Clarinet, Bass Clarinet
Jan Roder: Bass
Kay Lübke: Drums


Ursprünglicher Preis CHF 12.00 - Ursprünglicher Preis CHF 30.00
Ursprünglicher Preis
CHF 30.00
CHF 12.00 - CHF 30.00
Aktueller Preis CHF 30.00
Format: Compact Disc
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The Being Inn - ein imaginäres Gasthaus, das sich die Berliner Saxofonistin Silke Eberhard beim Komponieren ihrer Musik im Geiste vorstellte. 13 Stücke präsentiert das Trio auf dem neuen Album mit Titeln wie „Ding Dong", „Willisau Suite", „In Drei", ", „Another Pint" oder „Last Order": höchst originelle Kompositionen, gespielt mit musikalischer Meisterschaft, improvisatorischer Intensität, auch mit Witz und Charme. Das Trio bewegt sich in der stolzen Tradition der Saxofon-Jazztrios. Eberhard kennt die Jazzmoderne, hat sich mit Jazz-Grössen wie Mingus, Dolphy und Coleman auseinandergesetzt. Aber Eberhard, Roder und Lübke setzen allein durch den Sound, den sie sich im Laufe der Jahre erarbeitet haben, und das gegenseitige Vertrauen und die zehnjährige Trio-Erfahrung eigene Akzente. „In dieser Gruppe spüre ich grosse Freiheit" ", sagt Silke Eberhard über ihre Zusammenarbeit mit dem Bassisten Jan Roder und dem Schlagzeuger Kay Lübke. Obwohl sich das Trio erst 2006 formierte, reicht ihre Geschichte mit den beiden Musikern bis in die Mitte der 90er-Jahre zurück, und die intensive Beziehung der drei ist in jedem Ton zu hören.

Album Credits

Cover art: Roman Signer
Cover design: Jonas Schoder
Liner notes: Peter Margasak
Photo: Manuel Miethe

All compositions by Silke Eberhard. Recorded January 2016 by Marco Birkner at Studio P4, Berlin. Mixed and mastered by Marco Birkner.

Customer Reviews

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M
Max Granvil
Blog de Garenne

Plus âgée que sa compatriote d’une quinzaine d’années, la quadragénaire Silke Eberhard (« The Being Inn ») est quant à elle restée en Allemagne où elle occupe depuis quelques lustres une place notable au sein de la scène nationale. La sonorité de son alto (elle pratique aussi la clarinette basse) est plus tranchante que celle de Charlotte Greve et c’est en leader qu’elle s’affiche avec un trio dont elle compose l’intégralité du répertoire. Elle y est accompagnée par les excellents Jan Roder (b) et Kay Lübke (dm) dont le jeu dynamique convient parfaitement aux improvisations fureteuses de la souffleuse.

https://blogdegarenne.blogspot.com/2020/10/gender-stories-2.html

J
Jean Buzelin
Cultur Jazz Magazine

Beaucoup plus aéré est le disque d’un second trio sax-contrebasse-batterie, celui de la saxophoniste allemande Silke Eberhard (saxo-alto et clarinette basse), fort bien accompagnée par Jan Roder et Kay Lübke. Son jeu, sinueux, son attaque franche, et son travail sur les intervalles renvoient un peu à Eric Dolphy, à Steve Lacy également, et peut-être à Arthur Blythe car elle navigue sur des thèmes et des structures rythmiques assez simples, mais parfaits pour susciter l’improvisation. Une suite de 18’, sept pièces qui n’atteignent pas 6’, et cinq intermèdes de 30/40’’ où le même thème est joué dans différentes tonalités, constituent un très bon disque de jazz contemporain. Silke Enerhard s’était déjà signalée avantageusement à nos oreilles dans des duos avec pianistes : Aki Takase « Ornette Coleman Anthology » (Intakt 129) et Uwe Oberg (cf. Culturejazz « Une année avec Leo (1) » 16/12//2016) et avec le trio I’m Three « Mingus, Mingus, Mingus » (LR 752 2016) . On voit qu’elle puise aux meilleures sources.

https://www.culturejazz.fr/spip.php?article3360

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